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Quatrième de couverture

Cachée au cœur d’un parc luxuriant, volets et portes encore closes, une maison blanche. Celle de l’enfance où le temps compte si peu. Une jeune femme, déterminée, revient sur ses pas et se souvient. Elle s’abandonne aux fantômes bienveillants, aux parfums retrouvés, aux évocations qui émanent de chaque recoin et surtout, elle affronte les peurs enfermées, les images verrouillées et brise le carcan de l’oubli. Elle trouvera des alliés précieux, des sentiers colorés, un nid dans la tonnelle et puis le pont, pour passer d’une rive à l’autre, sans oublier.
Patricia Bouchet mêle douceur et regards poétiques pour nous livrer un texte fort, émouvant et galvanisant, celui d’une femme qui a le courage d’embrasser sa vie.

Avis et commentaires

Court écrit sur le récit d'une enfance que l'auteure découvre ou re découvre en revenant sur l'adresse de son enfance;  Saint- Martin. Ce retour douloureux est une succession d' impressions fortes sous forme de flash sur les paysages, l'intérieur de la maison d'enfance, des odeurs qui remontent, le portrait de ce cousin moqueur dont l'auteure enfant est particulièrement  des souvenirs parfois violents aussi avec cette main qui salit l'intimité de l'enfant qu'elle fut, cette pièce secrète. Entre horreur et découverte d'une nature qui marqua l'enfant tant elle est belle, une multiplication d'odeurs, de couleurs, le lecteur refait ce chemin d'enfance avec tendresse et intérêt.

Des phrases courtes, des impressions fugaces ou plus tenaces pour d'autres, des éléments en italique puis en caractères plus gras, on dévore ces 64 pages avec en tête de multiples images. A découvrir.

 

 

Tag(s) : #68premieresfoispatriciaboucheteditionsparole
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