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Livre lu par le biais du groupe des livres voyageurs sur Facebook et à Chrystelle, l'heureuse propriétaire de ce livre atypique.
Quatrième de couverture :
Pour le captiaine de la police, Sylvie Branetti, la vie s'est arrêtée il y a quinze ans, lorsque le tueur qu'elle poursuivait a enlevé sa fille, Lila, avant de dsiparaître. Après un passage obligé en hôpital psychiatriquz et des séances régulières de psychothérapie et d'hypnôse, elle se raccroche à un seul objectif : savoir ce qui est arrivé à Lila.
La découverte d'un cadavre mutilé, arborant la même signature que celle du monstre qu'elle a croisé par le passé, la propulse à nouveau dans l'horreur. Mais elle a cette fois une espérance : connaître enfin la vérité. Accompagnée de Paul Bénito, son ancien amant, elle veut suivre avec acharnement les traces laissées par le bourreau et mène une enquête aux confins de la réalité, un parcours peuplé de rêves étranges qui la submergent de plus en plus. Où cela pourra-til finir ? Et si tout n"était qu'apparence ?
Bienvenue dans le chaos.
Avis et commentaires :
Difficile de définir ce lire, est-ce vraiment un thriller ou seulement un suspense, en tout cas c'est la chronique d'une violence rare et où le lecteur ne cesse de se perdre ou de se sentir perdu, tant les hypothèses se bousculent. Au minimum c'est une oeuvre décrivant au mieux ce que représente la schyzophrénie.
Une enquête au premier regard sur le parcours d'un serial killer totalement déjanté "Le Tanneur", de ses relations particulières avec Sylvie Branetti, d'une enquète dans les quartiers les plus chauds de Lyon, d'un psychiatre pédophile, des relations troubles supposées entre Sylvie, son mari et son amant, autre flic et de la quète de Branetti pour retrouver sa fille enlevée par 'le Tanneur" . Mais toutes les cartes sont rebattues avec des aller et retour entre l'enquète, les cauchemars de Sylvie, des flash backs constant..
Bref vous l'aurez compris, rien n'est réel, véritable, rien n'est sûr mais il faut absoluement au bout de ce livre.
Un regret ; la première de couverture avec le commentaire "Bluffant" de Franck Thilliez qui me semble un peu trop exagérée.